Le ne waza, ou combat au sol, connaît un véritable renouveau à Paris en août 2025. Entre stages intensifs, compétitions de haut niveau et formations ciblées, la capitale française devient un épicentre incontournable pour les passionnés de judo et de jujitsu. Cet article vous propose un tour d’horizon complet des événements, tendances et ressources les plus récentes pour pratiquer et progresser en ne waza à Paris.
Le 25 août 2025, une vidéo publiée sur YouTube lors du Judo Summer à Longuenesse a captivé les pratiquants. On y découvre des techniques de renversement en ne waza, démontrées avec clarté et efficacité. Ce type de contenu est précieux pour les judokas parisiens en quête de perfectionnement rapide.
Dans son article du 10 février 2025, L’Esprit du Judo revient sur le Grand Chelem de Paris. L’analyse met en lumière l’importance croissante du ne waza dans les stratégies de compétition. Les combats au sol y ont été décisifs, révélant une évolution technique notable chez les athlètes de haut niveau.
À Paris, de nombreux clubs peinent encore à proposer une pratique intensive du ne waza. Les stages spécialisés viennent combler ce manque, en particulier pour les compétiteurs préparant les Jeux Mondiaux 2025.
Les formations ciblées permettent aussi d’améliorer la maîtrise technique, un enjeu crucial pour les passages de grade et les tournois. À travers des événements comme le Dojo d’été, les pratiquants bénéficient d’un encadrement de qualité et d’un volume d’entraînement adapté.
Des rassemblements comme ceux présentés sur NRFight offrent une immersion totale dans la pratique du ne waza, avec des sessions encadrées par des experts reconnus.
Le 29 août 2025, un stage intensif est organisé pour préparer les UV1 et UV2. L’accent est mis sur les techniques de ne waza, avec des ateliers pratiques et des mises en situation. Ce type d’événement attire aussi bien les ceintures marron que les ceintures noires en quête de perfectionnement.
Tout au long de l’été 2025, plusieurs dojos parisiens ont proposé des sessions spécifiques ne waza les lundis, mercredis et vendredis. Ces créneaux, souvent en soirée, permettent de maintenir un rythme d’entraînement soutenu même pendant les vacances.
Bien qu’aucune donnée chiffrée précise ne soit disponible pour août 2025, les signaux sont clairs : le ne waza attire de plus en plus de pratiquants à Paris. La multiplication des stages, des passages de grades et des compétitions témoigne d’un engouement croissant.
Les clubs investissent dans la formation de leurs enseignants pour répondre à cette demande, et les événements affichent souvent complet plusieurs semaines à l’avance.
En participant aux stages d’été, aux formations spécifiques et aux rassemblements organisés par des clubs comme ceux présentés sur NRFight.
Les Championnats de Paris, le Grand Chelem, les stages de passage de grade et les entraînements du Dojo d’été sont incontournables pour tout passionné de ne waza.
Le ne waza se concentre sur le combat au sol, tandis que le jujitsu englobe des techniques de projection, de contrôle et de soumission. À Paris, les deux disciplines sont souvent combinées dans les entraînements et compétitions.
Cette semaine marque la fin du Dojo d’été 2025 à Paris. Les derniers entraînements, très fréquentés, ont mis l’accent sur les techniques de sol. Le 29 août, le stage de passage de grade au Dojo de la Brèche aux Loups constitue un moment fort pour les pratiquants.
Parallèlement, les athlètes français poursuivent leur préparation pour les Jeux Mondiaux 2025 à Chengdu. Le ne waza y occupe une place centrale, influençant directement les méthodes d’entraînement dans les clubs parisiens.
En résumé, le ne waza à Paris en août 2025 est bien plus qu’une tendance. C’est une dynamique collective, portée par des événements concrets, des contenus pédagogiques récents et une communauté en pleine effervescence. Que vous soyez débutant ou compétiteur aguerri, c’est le moment idéal pour plonger dans l’univers du combat au sol.
En ce mois d’août 2025, la demande en matière de ne waza à Paris atteint un sommet inattendu. Du néophyte curieux au compétiteur confirmé, de nombreux pratiquants cherchent à prolonger leur entraînement malgré la pause estivale. Mais quelles sont les vraies tendances qui se dessinent derrière cette ruée vers le sol parisien ? Quels sont les enjeux actuels pour les clubs et passionnés ? Voici un tour d’horizon complet basé sur les recherches, comportements et préoccupations des trente derniers jours.
C’est une réalité désormais bien ancrée : les dojos d’été remportent un franc succès chaque année. Cette formule légère et accessible attire aussi bien les débutants en jujitsu brésilien ou ne waza que les confirmés à la recherche de continuité dans leur pratique.
En moyenne, l’abonnement mensuel reste abordable (entre 15€ et 25€ par mois), ce qui permet une stabilité technique pendant l’été sans se ruiner. Les créneaux proposés vont généralement de deux à trois fois par semaine en soirée. Certains clubs ajoutent des cours le week-end, pour combler la frustration de ceux qui travaillent le jour.
Au-delà de l’accès aux tatamis, les pratiquants cherchent une progression technique encadrée. Autrement dit, venir pour “rouler un peu” ne suffit plus. Paris affiche une diversité d’offre grâce à des programmes comme ceux mis en avant sur NRFight, ce qui permet à chacun de choisir selon son niveau ou ses objectifs spécifiques.
On note un vif intérêt pour :
Avec l’essor des stages ouverts à tous niveaux, Paris devient un véritable laboratoire estival du ne waza moderne. Les recherches montrent que les pratiquants veulent du concret : progresser techniquement sans attendre septembre pour s’y remettre sérieusement.
L’envie dominante ? Acquérir des outils tactiques pour être plus efficace dès la rentrée. Cela passe notamment par :
Les clubs proposant une approche progressive – mêlant démonstration détaillée et pratique libre – ont clairement la côte.
L’un des moments forts du calendrier a été le Championnat de France jujitsu ne waza. Si les statistiques semblent encourageantes avec une participation en hausse (+10% chez les seniors), le taux de présence effectif n’a pas suivi avec seulement 56% des inscrits réellement présents dans certaines catégories.
Cela interroge forcément sur :
Côté examens, le Comité de Paris Judo organise régulièrement des sessions officielles. Mais plusieurs candidats expriment leurs inquiétudes concernant :
Signe marquant depuis juillet : de nombreux pratiquants complètent désormais leur entraînement par des vidéos bien ciblées. Ce phénomène s’explique par deux tendances cumulées :
Certaines vidéos comme celle-ci sur les techniques de contrôle au sol (voir sur YouTube) dépassent largement les dix mille vues en moins d’un mois.
The last but not the least — beaucoup profitent de l'été pour “tester” le ne waza... mais aussi identifier leur futur club pour la rentrée sportive. Un article utile comme celui publié sur NRFight Paris JJB FAQ août 2025 permet justement d’aiguiller ces futurs adhérents vers un choix éclairé.
Côté organisateurs, tout n’est pas rose malgré l’engouement : la stagnation du taux de présence aux événements fragilise leur viabilité. On assiste donc à une remise en question globale :
L’analyse des tendances actuelles autour du ne waza paris révèle un monde bouillonnant d’énergie toute estivale mais lucide quant à ses défis futurs.
D’un côté, il y a cet attrait joyeux pour le tatami sous la chaleur parisienne – formules libres, stages ouverts et motivation intacte malgré août — mais aussi une communauté mature qui souhaite progresser vraiment : concrètement, durablement.
Avec le retour progressif à une pratique annuelle plus fluide post-covid, les clubs qui sauront combiner accessibilité estivale et engagement post-septembre auront toutes leurs chances de bâtir un écosystème solide autour du ne waza dans la capitale.
A suivre dès septembre sur les calendriers fédéraux officiels… ou dans votre dojo préféré dès demain ! Osu.