Le no gi grappling à Paris connaît un essor sans précédent en septembre 2025. Entre les stages complets, les open mats bondés et les compétitions à cash prize, la capitale devient un véritable carrefour pour les passionnés de grappling sans kimono. Que vous soyez débutant curieux ou compétiteur aguerri, cet article vous offre une vue d’ensemble actualisée, pratique et inspirante sur la scène no gi parisienne.
Deux publications majeures ont marqué l’année 2025 pour les pratiquants de no gi à Paris. Le premier, publié par NRFight le 9 août, propose un guide complet sur les open mats no gi dans la capitale. Il y est question de formats semi-compétitifs, de clubs dynamiques et de conseils pour progresser rapidement dans un environnement libre et structuré.
Le second article, également signé NRFight, met en lumière la Luta Livre sans kimono, une discipline cousine du no gi grappling. Très populaire en 2025, elle séduit par son approche technique, son coaching personnalisé et sa communauté inclusive.
Dans une ville où les emplois du temps sont aussi serrés que les clés de talon, le no gi grappling apporte une réponse concrète à plusieurs besoins :
Les retours des pratiquants sont unanimes : le no gi grappling à Paris offre une expérience enrichissante à plusieurs niveaux.
Le 9 août 2025, Rebel BJJ a organisé une session open mat mêlant gi et no gi. Dix combats de cinq minutes ont permis aux participants de tester leur endurance et leur technique dans une ambiance conviviale mais exigeante.
Plusieurs clubs ont affiché complet pour leurs stages estivaux, avec un accent fort sur l’inclusion féminine et la découverte du no gi. Ces stages ont permis à de nombreux débutants de faire leurs premiers pas dans la discipline.
Prévue le 28 septembre 2025, la compétition OSSMOZ PARIS propose un format round robin avec au moins trois combats de six minutes par participant. Le cash prize de 17 000€ attire déjà les meilleurs compétiteurs de la scène française et européenne.
Plusieurs clubs comme ceux listés sur ce guide NRFight proposent des open mats réguliers, souvent le week-end.
Le no gi grappling est un style plus international, souvent influencé par le jiu-jitsu brésilien, tandis que la Luta Livre est une discipline brésilienne à part entière, avec ses propres codes et une approche plus orientée vers le combat debout et le contrôle au sol.
Des clubs comme NR Fight, Urban BJJ ou encore Infinity Fight proposent des cours accessibles aux débutants, avec des coachs expérimentés et des formats adaptés.
En combinant des entraînements réguliers, des open mats, et des stages intensifs. Participer à des compétitions comme OSSMOZ PARIS permet aussi de se confronter à différents styles.
Outre OSSMOZ PARIS, d’autres événements sont listés sur des plateformes comme Grappling France, avec des formats variés et des niveaux adaptés à tous.
La scène no gi parisienne est en pleine effervescence. Les clubs préparent activement la compétition OSSMOZ PARIS du 28 septembre, tandis que les réseaux sociaux regorgent de vidéos techniques, d’analyses de combats et de conseils pour progresser. Les stages intensifs continuent d’attirer un public large, confirmant l’ancrage du no gi dans le paysage martial parisien.
Pour ceux qui souhaitent s’immerger dans cette dynamique, le rassemblement NRFight à Paris est un excellent point de départ, avec des sessions ouvertes, des démonstrations et des échanges entre pratiquants de tous horizons.
À Paris en septembre 2025, un vent nouveau souffle sur les tatamis : le no gi grappling, cette forme de jiu-jitsu brésilien sans kimono, attire une communauté toujours plus large et enthousiaste. En étudiant les dernières tendances de recherche sur Google, les forums spécialisés, Reddit ou encore Quora, une chose est claire : la capitale française s’impose désormais comme un véritable hub pour les pratiquants de cette discipline en pleine ébullition.
Parmi toutes les questions posées au cours des dernières semaines, une revient systématiquement :
Les open mats représentent l’eldorado pour les passionnés souhaitant pratiquer librement en dehors des cours traditionnels. Que ce soit pour tester une nouvelle clé de bras ou simplement transpirer entre amis sans pression de compétition, beaucoup souhaitent connaître les bons créneaux parisiens.
Des clubs comme NRFight proposent régulièrement ce type de format accessibles à tous niveaux… encore faut-il être au courant à temps. C’est d’ailleurs ce manque d'information centralisée qui génère tant de frustration chez les pratiquants débutants.
Dans l’imaginaire collectif, Paris reste associée à l'élégance et au chic… mais côté tatami, on préfère retirer le kimono et échanger un triangle choke sous néons fluorescents plutôt qu’au Moulin Rouge.
La réalité est que plusieurs clubs parisiens offrent des entraînements no gi structurés, notamment :
Mais attention : beaucoup regrettent l’absence de visibilité sur la pédagogie adoptée et le niveau demandé dès la première séance.
C’est probablement l’un des plus gros freins exprimés : peut-on intégrer un club de no gi grappling à Paris quand on n’y connaît absolument rien ?
Heureusement, oui. Plusieurs stages sont désormais conçus pour les novices complets. Un bon point d’entrée est le stage prévu le 14 septembre avec des coachs spécialisés, axé sur les amenées au sol et le passage de garde en no gi.
L’apprentissage y est progressif avec un fort accent mis sur la sécurité et la compréhension des mouvements fondamentaux. Une belle entrée en matière pour éviter les mauvaises surprises... et les étranglements façon piège à ours mal maîtrisé !
L’envie de se confronter augmente rapidement après quelques mois d’entraînement. Parmi les événements prévus à Paris d’ici décembre :
Ce calendrier reflète parfaitement l’engagement croissant pour cette discipline dans notre capitale où chaque week-end semble désormais réserver son lot de combats engagés.
Une question surprenamment fréquente concerne la différence entre Gi et No Gi dans le contexte parisien.
Aussi étrange que cela puisse paraître, ce n’est pas seulement une histoire de tissu ou de grip. Le climat social propre aux dojos parisiens rend parfois ces deux univers très différents : ambiance moins stricte côté no gi, mais aussi moins “balisée” pour le non-initié.
No gi = plus rapide + plus fluide + plus explosif.
Mais certains craignent qu’en l’absence de kimono pour ralentir le jeu, cela devienne vite trop intense voire incontrôlable — surtout pour ceux qui découvrent encore comment tomber correctement sans se transformer en crêpe bretonne.
Depuis l’été dernier, plusieurs discussions révèlent une sensible révolution culturelle dans le monde du grappling parisien.
Cela montre à quel point la scène parisienne cherche à devenir plus humaine et moins élitiste… sans renier ses exigences techniques bien sûr.
« Je commençais à saturer du système classique dojo + kata... J’ai découvert les stages open mat chez Nrfight [à Masséna] cet été grâce au bouche-à-oreille sur Reddit... C’était exactement ce que je cherchais ! » – Sophie M., enseignante à Paris.
« J’avais peur d’être largué : j’ai fait deux cours découverte no gi dans un club connu vers Nation… Ça a été intense mais super bien encadré. Ça casse complètement l’image du "combat de rue badass". Là c’était technique... et très cérébral ! » – Hugo F., étudiant.
L’analyse croisée entre Google Trends, forums spécialisés et comportements des clubs montre très clairement que la demande explose autour du no gi grappling à Paris en septembre 2025. Et cette demande est aussi exigeante qu’ambitieuse :
Ainsi naît cette dynamique nouvelle qui redéfinit peu à peu les contours du sport combatif urbain moderne. Ni rebelle ni classique : simplement ancré dans son époque et impulsé par une génération qui cherche autant la performance que la bienveillance collective sur le tatami parisien.